lieu oublié,
Les lieux,
…à tout un chacun, ils appartiennent
par d’innombrables traces
de corps en relations, ils nous retiennent
en idées dans l’espace,
donc, impossible de les ouvrir, de fuir,
eux sont toujours stables,
tandis que l’harmonie est à venir,
le mouvement est sable,
alors, comment concilier leurs états ?
travailler ? Inutile !
Chaque geste resserre l’heure du constat :
« les objets sont stériles »,
jamais, le choix nous a appartenu,
depuis la nuit des temps,
l’homme ne se contient, il est contenu
mais au lieu d’accepter, il entreprend,
plus la recherche lui fait perdre la vie,
plus il oublie son Dieu,
il arrivera enfin dans l’ennui,
comme dans son propre lieu…